Je suis une femme trophée et tu n’es qu’un mari candaulisme pathétique. Je pense que tu sais pourquoi j’ai même regardé dans ta direction. Ton portefeuille était épais ! Je ne me souciais que de dépenser ton argent. Mais je pense qu’au fond de toi, tu le savais. Tu savais que la seule façon de m’avoir, c’était de m’emmener dans des vacances luxueuses et d’acheter tout ce que je voulais. En retour, tu peux m’appeler le tien, mais seulement en public, bien sûr. Parce que derrière des portes fermées, tu n’es rien d’autre qu’un salaud qui aime me regarder me faire baiser dans la lingerie que tu as choisie.

J’ai un placard plein de lingerie que tu m’as offerte. Et ça m’a toujours semblé être un tel gâchis de l’avoir. Tu as toujours été si ennuyeux au lit, si prévisible. Tu te souviens de la première fois où je t’ai transformé en mon pathétique mari candaulisme ? J’ai rencontré ce grand, sombre et bel homme chez un concessionnaire automobile et je l’ai invité à venir. Je l’ai baisé sur notre lit pendant que tu restais dans le placard à te branler. Tu as fait un pic à travers les portes et j’ai su que tu allais être accro à me regarder me faire baiser.

Tu aimes me voir me faire baiser plus que tu ne veux l’admettre. La façon dont tu fermes les yeux sur moi en me sucant la bite me fait penser que tu veux me rejoindre. Qu’est-ce que tu préfères ? Quand je prends mon temps, faire glisser ma langue de haut en bas de cette grosse bite épaisse ? Ou quand je la prends si profondément dans ma gorge qu’elle me fait suffoquer ? Dans les deux cas, je suis content que ce ne soit pas toi que je suce. Dis-moi à quel point tu penses à ta femme infidèle qui te fait du candaulisme. Ma position préférée est la cowgirl inversée. Surtout quand tu es à genoux juste devant moi.
J’aime te regarder de haut, te dégrader, te faire sentir comme le mari cocu pathétique que tu es.

J’aime, encore plus, quand j’ai un orgasme sur cette grosse bite et que tu peux regarder. Tu me regardes me mettre de la crème dessus, et après que je t’ai donné un spectacle, j’ai besoin de plus ! La lingerie que tu m’as achetée se fait voler et je m’habitue et je suis abusée comme tu ne pourras jamais le faire. Mes seins rebondissent quand il me frappe par derrière. Je jouis à nouveau et je le supplie de me remplir. Maintenant, tu peux commencer à te branler de plus en plus vite. Il est presque temps pour toi de me nettoyer.

Une fois qu’il m’a plié, il me remplit. Son sperme chaud est au fond de ma chatte et il est temps pour toi de briller. Rapproche-toi alors que je suis allongée sur le dos. J’écarte les jambes et je te tire encore plus vers l’intérieur. Tire la langue et assure-toi de commencer par ma fente. Glisse-la jusqu’à ma chatte et goûte son sperme. Suce jusqu’à la dernière goutte, pathétique mari candaulisme.

La prochaine fois, c’est peut-être moi qui t’obligerai à te joindre à moi. La prochaine fois, tu seras peut-être plus que le simple spectateur !